Oiseaux-balades

Oiseaux-balades

Balade au Ghana : jour 5 *

                         

Ce matin, on se réveille aux portes du parc national de Nini-Suhien et au petit-déjeuner chacun y va de ses commentaires sur les observations de la veille.
                     
Certains d’entre nous ont déjà les yeux rivés sur les deux Lands Rovers qui nous serviront de moyen de transport pour sillonner les pistes forestières d’Ankasa.
                     
Alors, elles ne sont plus très jeunes, elles feront tout de même l’affaire pour notre petit groupe pour couvrir la distance dans cette partie de notre voyage.
                     
Ici, comme à Kakum, les arbres font au bas mot plus de trente mètres de hauteur pour la plupart, est beaucoup dépassent allégrement cette mesure.
                     
Pendant que le jour s’installe, nous finissons notre repas et contactons déjà le Tchitrec à ventre roux (Terpsiphone rufiventer) qui profite lui aussi du changement radical de végétation.

                     
P3100014 Tchitrec à ventre rouxTchitrec à ventre roux (Terpsiphone rufiventer)

                     
Notre groupe et scinder en deux afin d’occuper correctement les véhicules tout terrain et la première balade forestière commence par le passage de la porte monumentale de l’entrée de la réserve.
                     
La piste que nous empruntons sillonne au milieu de la forêt et les arbres qui la composent sont si hauts et si denses que la lumière parvient à peine à cette heure matinale.
                     
Parfois des formes volantes sont furtivement aperçues, mais la plupart du temps, même Victor ne se prononce pas à chaque fois pour les nommer.
                     
Par la dernière ondée locale et c’est peu de le dire, les passages de roues sont gras quand ils ne sont pas transformés en ornières remplies d’eau.
                     
Nous vivons à l’instant présent, les passages difficiles que nous voyons d’ordinaire dans les films ou les reportages et les Land Rover bien que vieillissantes n’usurpent pas leur réputation de passe-partout.
                     
Il y a peu de temps que nous avons entamé notre prospection et le véhicule de devant stoppe il se passe un long moment avant que notre guide ghanéen ne comprenne la situation et nous l’explique.
                     
Il y a tout simplement un Onoré à huppe blanche (Tigriornis leucolopha) au bord du chemin, rien que ça, notre chauffeur tente une manœuvre d’approche la plus délicate possible.

                          
P3100031 Onoré à huppe blancheOnoré à huppe blanche (Tigriornis leucolopha)

                     
Le seul moyen de bien observer ce beau héron reste de descendre de notre véhicule et la chance nous sourit, en effet, l’ardéidé décide de rester à sa place pour un petit moment pour le plaisir de tous.
                     
Victor nous apprend que les batraciens de sous-bois viennent pondre leurs œufs dans les flaques laissées par la pluie ce qui fait le régal de plusieurs espèces dont cet onoré.
                     
Nous restons là un bon moment à observer l’attitude de cet oiseau tout en nous imprégnant de l’atmosphère où la lumière peine à pénétrer, puis nous reprenons la route.
                     
Un nouvel arrêt brutal de la voiture de tête nous refait soulever une multitude de questions quant à ce qui est observé par les occupants du premier véhicule.
                     
Victor de demander à notre chauffeur de se déplacer pour que, nous aussi, nous profitions de la miroise, et ce fut dommage de manquer un jeune Blongios de Sturm (Ixobrychus sturmii).

                     
P3100104 Blongios de Sturn Blongios de Sturm (Ixobrychus sturmii)

                     
Là aussi, l’oiseau demeure statique, voire complètement immobile, à croire qu’il n’a jamais vu d’humain de sa courte vie, pour le moment, il ne bronche pas d’une plume.
                     
Au terme d’un temps indéfinissable, le premier chauffeur écarte le jeune échassier pour que nous puissions poursuivre notre route tout en profitant de l’apparition d’un Touraco à gros bec (Tauraco macrorhynchus).

                     
P3100150 Touraco à gros becTouraco à gros bec (Tauraco macrorhynchus)

                     
Un arbre de taille moyenne, tombé en travers de la piste nous oblige à descendre des voitures pour continuer.

                       
Les agents forestiers du parc se chargeront de le couper à la machette, excusez du peu, l’arbre sur lequel ils viennent de prendre place.

                       
P3100170 garde forestierAmbiance sous-bois

                     
De notre côté, quelques beaux papillons sont observés, proche du sol, plus haut dans la frondaison, ce sont des Bulbul à barbe jaune (Criniger olivaceus) qui animent les branches ainsi que quelques espèces non identifiées sur le moment.
                     
Notre marche nous conduit sur le bord d’une mare alimentée par de l’eau de ruissèlement continue, ce qui lui permet d’avoir des zones d’eau claire d’où l’émergence de nénuphars.
                      
Dans une ouverture, au milieu du plan d’eau, une branche sert de perchoir à un Martin-chasseur à poitrine bleue (Halcyon malimbica) qui permettra une observation collégiale pour une rencontre à peu de frais.

                     
P3100189 martin Martin-chasseur à poitrine bleue (Halcyon malimbica)

                     
L’oiseau bleu s’éloignant un peu, les Malimbe à bec bleu (Malimbus nitens) et les Nigrette à ventre roux (Nigrita bicolor) reprennent leurs activités et pour l’une de ces dernières, il s’agit de visiter les lieux de ponte de certaines grenouilles.

                     
P3100252 oeufs de grenouilleNigrette à ventre roux (Nigrita bicolor)

                      
Un Martin-pêcheur à ventre blanc (Corythornis leucogaster) est entendu à plusieurs reprises, il sera même aperçu par nos accompagnateurs. Cependant, il paraît gêné par son grand cousin, il ne se montrera pas plus que cela.
                     
Des Bulbul à barbe blanche (Criniger calurus) passent assez haut dans les branches, puis plus tard sur une autre mare, bien plus dégagée, ce sera le Martin-pêcheur pygmée (Ispidina picta) Pour une belle miroise malgré la distance.

                      
P3100270 Martin-pêcheur pygmée Martin-pêcheur pygmée (Ispidina picta)

                      
Autour de cette zone humide, les mouvements de passereaux sont multiples, et parmi eux, l’Apalis à calotte noire (Apalis nigriceps) est immortalisé avec plus ou moins de succès.
                      
Nous prolongeons notre marche pour arriver sur un couloir ouvert dans la forêt ou passe une ligne électrique THT ce qui nous permet l’observation d’un Coucou didric (Chrysococcyx caprius) arrangeant son plumage.
                     
Des Martinet des maisons (Apus affinis) ainsi que leurs cousins des Martinet de Sabine (Rhaphidura sabini) sont aperçus évoluant au-dessus des grands pylônes de servitude et parfois ceux-ci se rapprochent un peu de nous.

                     
P3100291 Coucou didric Coucou didric (Chrysococcyx caprius)

                      
C’est le retour vers la petite mare, on ne s’arrête même pas sur la plus grande, le martin, celui à ventre blanc est la priorité, pourtant, on ne le reverra pas pour cause de présence de deux individus à poitrine bleue cette fois-ci.
                      
Toutefois, la nigrette, celle déjà observée plus tôt, nous privilégie d'un véritable festival avec un mâle étalant ses plumes au moindre chant de repasse tout autant que le malimbe dont le bleu du bec est assez perceptible.

                      
P3100438 Nigrette à ventre roux  Nigrette à ventre roux (Nigrita bicolor)

                      
Le petit martin-pêcheur, le pygmée est revu, il reste dans l’ombre et nous avons des difficultés à le localiser malgré l’aide du pointeur laser.
                      
Là-dessus, un oiseau vraiment sombre se pose et fait fuir le précèdent, il reste encore plus ardu à identifier pour moi et Julien me confirmera un Coucou de Levaillant (Clamator levaillantii) un peu plus tard sur la vision d’une photo plutôt médiocre, mais suffisante pour la confirmation.

                      
P3100332 Coucou de Levaillant Coucou de Levaillant (Clamator levaillantii)

                     
La miroise dure seulement quelques instants et à l’opposé de la mare et l’heure passant, il est ordonné de retourner vers les voitures puis vers le lodge.
                     
Cette fois-ci, c’est la nôtre qui passe devant, et donc avec l’espoir d’obtenir le même succès que ce matin et un nouveau blongios est aperçu, posé sur le bord d’une ornière, aussi trempé que les autres, mais avec un plumage différent.

                     
P3100538 Blongios de Sturn Blongios de Sturm (Ixobrychus sturmii)

                     
Plus loin, une nouvelle halte, un reptile est en travers du chemin assez loin et seul sa tête dépasse de l’herbe, le chauffeur déclare un cobra et l’information est passée à l’autre équipe.
                     
Une photo faite par l’ouverture de la fenêtre, démontre plutôt un varan, qui confirme son espèce en détalant sur ses pattes, ce qui déclenche un rire volontaire parmi nous.

                     
P3100575 Varan Ambiance reptile

                     
Au virage suivant, un rapace est contacté par Victor, là immédiatement le sérieux revient et notre conducteur tente une approche lente ce qui met instantanément l’oiseau de proie en alerte.
                     
Un arrêt s’impose et l’autre véhicule tente de passer par la droite, une photo réflexe, permet d’affirmer une jeune Autour à longue queue (Urotriorchis macrourus).

                     
P3100608 Autour à longue queue Autour à longue queue (Urotriorchis macrourus)

                     
Une recherche avec l’aide de la repasse, permettra une réponse de l’oiseau, mais sauf son envol inopiné, nous n’obtiendrons rien de plus.
                     
Le chauffeur de la seconde Land Rover retente un meilleur angle d’observation pour ses passagers, ce qui provoque l’envol du jeune prédateur ailé.
                     
Puis, de retour à l’hôtel, un doute est instauré quant à l’espèce de l’autour, mais fini par être confirmée sur photo par plusieurs personnes.
                     
Pour ce qui est de la Tourterelle à collier (Streptopelia semitorquata) le doute n’est pas permis ce qui facilite la tâche de notre guide ghanéen s’il en était besoin.
                     
Proche du point de restauration, l’immanquable Souimanga à ventre olive (Cinnyris chloropygius) qui butine dans les fleurs ainsi qu’un couple de Guêpier noir (Merops gularis) sont facilement contactés pour le plaisir de tous.

                     
P3100673 Souimanga à ventre olive Souimanga à ventre olive (Cinnyris chloropygius)

                     
L’incontournable Calao longibande (Lophoceros fasciatus) fait plusieurs passages, comme le martin-pêcheur, le pygmée qui vient s’afficher jusque devant le restaurant, comme la Bergeronnette pie (Motacilla aguimp) à la démarche si caractéristique.
                     
Le Bulbul des jardins (Pycnonotus barbatus) n’est pas en reste, car fort loquace, il reste aisé à rencontrer pour des observations aussi collégiales que faciles.
                     
Après l’excellent repas, chacun est invité à se reposer, ou à se balader dans le jardin de la propriété de l'hôtel, ce qui permet à certains d’admirer les différentes espèces de lézards qui gravitent autour des bâtiments qui eux-mêmes gardent un œil attentif sur le passage du Milan à bec jaune (Milvus aegyptius).
                     
Plus tard, avant de retourner sur le site de la ligne électrique, nous rejoignons Julien pour une courte balade et ainsi, avoir le plaisir de parfaitement observer un Pouillot fitis (Phylloscopus trochilus), puis au-dessus de la rivière, un Gobemouche de Cassin (Muscicapa cassini) nourrissant des petits de la dernière pluie.

                                      
P3100746 Pouillot fitisPouillot fitis (Phylloscopus trochilus)

                      
Notre accompagnateur m’indique l’endroit où le splendide Tchitrec a construit son nid et je vais donc tranquillement y faire un tour tout en respectant la distance de sérénité du couple nicheur.
                     
Reste qu’avec le télézoom équipant mon APN, j’ai vraiment le loisir de choisir ma distance de prise de vue.
                     
Puis, nous grimpons dans les 4×4 pour un nouveau départ, effectuant au passage une halte sur une autre petite mare particulièrement sombre ou un martin-pêcheur est contacté entre autres.
                     
Le déplacement jusqu’à notre destination me parait bien plus rapide, il faut dire qu’il n’y a pas d’oiseau posé sur la piste ce qui favorise notre progression.
                     
Arrivé à destination, au moment de descendre de nos véhicules, des Touracos géants (Corythaeola cristata) sont entendus et une recherche est engagée immédiatement pour finir par les apercevoir quelques brèves secondes et assez loin.

                     
P3100825 touraco géantTouracos géants (Corythaeola cristata)

                      
Dans une autre direction, ce sont des Colombar à front nu (Treron calvus) qui s’envolent d’un arbre dénudé, puis des Martinet noir (Apus apus) réellement haut au-dessus de la canopée ainsi que plusieurs Guêpiers à gorge blanche.
                      
Le plan d'eau, aux malimbes et autres nigrettes, est rapidement prospecté ce qui permet cette fois à certains de reconnaitre le cri du Martin-chasseur marron (Halcyon badia).
                      
Il s'ensuit le contact avec le Bulbul nicator (Nicator chloris) le Pririt de Guinée (Platysteira hormophora) et le Bagadais à bec rouge (Prionops caniceps) et un Malcoha à bec jaune (Ceuthmochares aereus).

                           
P3100790 Pririt de Guinée FPririt de Guinée (Platysteira hormophora)

                      
Nous rentamons une marche vers la dernière position de miroise de la journée où nous espérons voir l’Ibis vermiculé (Bostrychia rara) et il sera aperçu une fraction de seconde.
                      
Pour l’heure, un Martinet de Bates (Apus batesi) est reconnu dans les airs, ainsi que des hirondelles à queue courte (Psalidoprocne nitens) perchées sur de hautes et lointaines branches.
                      
Derrière nous, dans le sous-bois, le Rougegorge de forêt (Stiphrornis erythrothorax) est discret, mais bien présent, à l’instar de la Tourtelette demoiselle (Turtur brehmeri) qui elle, est seulement entendue.
                      
Après une attente qui voit uniquement passer au loin, les Ibis tant convoités et encore par des formes fantomatiques, la pénombre commençant à s’installer, nous retournons vers les voitures pour rentrer à l’hôtel.
                      
À un moment, c’est l’arrêt complet où seules les lumières des phares des 4×4 percent la nuit, et il nous est demandé de rester à notre place à l’intérieur des véhicules.
                      
Les gardes forestiers locaux qui nous accompagnent, sont à côté des voitures en pleine discussion dont bien sûr, nous ne comprenons pas la langue. 
                     
Cependant, Victor nous rassure en nous disant qu’ils tentent de localiser une espèce phare de notre voyage.
                     
Ils quittent le bord de la route pour s’enfoncer dans la forêt, un silence seulement percé par les chants d’insectes s’installe pour un moment interminable et au terme d’une durée indéfinie, le son de parole nous parvient.
                      
L’intonation des paroles est indescriptible, mais assurément les guides parlent vraiment fort, trop fort, faisant craindre à certains l’impossibilité d’observation de l’oiseau rare.
                      
De minuscules lampes frontales s’affichent et l’ordre nous est donné de descendre de nos moyens de transport.
                     
Nous mettons un petit moment à comprendre qu’ils l’ont trouvé et que c’est notre chance qui nous sourit enfin après l’avoir seulement entendu à plusieurs reprises, nous allons le voir.
                                           
Une marche s’engage en file indienne dans un milieu dans lequel on ne distingue qu’à peine là personne qui se trouve deux mètres devant.
                     
Les techniciens forestiers nous amènent après plusieurs minutes de marche au pied d’un arbre sur lequel le Râle à pieds rouges (Himantornis haematopus) est au dortoir.

                     
P3100948 Râle à pieds rouges Râle à pieds rouges (Himantornis haematopus)

                                           
La rencontre frôle l’irréel, les oiseaux, car il y en a plusieurs, sont perchés à plusieurs mètres du sol en sécurité, l’effervescence règne parmi nous et Julien doit demander à chacun de conserver son calme.
                      
Puis, au terme de plusieurs longues minutes, le retour est engagé, mais cette fois-ci, nos guides semblent un peu égarés, mais nous finissons par couper la piste, et donc de retrouver les Land Rover pour le retour au lodge.
                      
Le chemin de retour est ponctué de larges commentaires sur cette dernière observation collégiale, et après le repas consommé, le log du soir apporte son flot d’espèces oubliées, seulement vues ou entendues par une minorité comme, l’Engoulevent à épaulettes noires  (Caprimulgus nigriscapularis), uniquement entendu, puis, le Coucou de Klaas  (Chrysococcyx klaas), le Coucou olivâtre  (Cercococcyx olivinus), l’Autour noir (Accipiter melanoleucus), la Chevêchette à pieds jaunes (Glaucidium tephronotum), le Calao pygmée (Lophoceros camurus), le Rolle à gorge bleue (Eurystomus gularis), le Barbican hérissé  (Tricholaema hirsuta), le Perroquet jaco  (Psittacus erithacus), le Drongo de forêt  (Dicrurus atripennis), le Tchitrec d'Afrique  (Terpsiphone viridis), le Nasique grise  (Macrosphenus concolor), le Néocossyphe à queue blanche  (Neocossyphus poensis), le Gobemouche ardoisé  (Muscicapa comitata), le Gobemouche d'Ussher (Muscicapa ussheri), le Souimanga de Fraser  (Deleornis fraseri), le Souimanga olivâtre (Cyanomitra olivacea), le Malimbe à tête rouge  (Malimbus rubricollis), et enfin le Parmoptile à front rouge (Parmoptila rubrifrons).
                     
01) Tchitrec à ventre roux *
02) Onoré à huppe blanche *
03) Blongios de Sturm *
04) Touraco à gros bec *
05) Bulbul à barbe jaune
06) Martin-chasseur à poitrine bleue
07) Malimbe à bec bleu *
08) Bulbul à barbe blanche
09) Martin-pêcheur pygmée *
10) Apalis à calotte noire *
11) Coucou didric *
12) Martinet des maisons
13) Martinet de Sabine
14) Coucou de Levaillant *
15) Autour à longue queue *
16) Tourterelle à collier
17) Souimanga à ventre olive *
18) Guêpier noir
19) Calao longibande
20) Bergeronnette pie
21) Bulbul des jardins
22) Milan à bec jaune
23) Pouillot fitis
24) Gobemouche de Cassin
25) Touraco géant
26) Colombar à front nu
27) Guêpier à gorge blanche
28) Martinet noir
29) Martin-chasseur marron
30) Bulbul nicator
31) Pririt de Guinée
32) Bagadais à bec rouge
33) Ibis vermiculé
34) Martinet de Bates
35) Hirondelle à queue courte
36) Rougegorge de forêt
37) Tourtelette demoiselle E
38) Râle à pieds rouges *
39) Engoulevent à épaulettes noires E
40) Coucou de Klaas
41) Coucou olivâtre
42) Autour noir
43) Chevêchette à pieds jaunes E
44) Calao pygmée E
45) Rolle à gorge bleue
46) Barbican hérissé
47) Perroquet jaco
48) Drongo de forêt
49) Tchitrec d'Afrique
50) Nasique grise
51) Néocossyphe à queue blanche
52) Gobemouche ardoisé
53) Gobemouche d'Ussher
54) Rougegorge de forêt
55) Souimanga de Fraser
56) Souimanga olivâtre
57) Malimbe à tête rouge
58) Parmoptile à front rouge



21/06/2023
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